Comment fait-on un sac Jane Birkin ?
Jane Birkin est tout à fait au courant que les sacs Hermès qui portent son nom ont été fabriqués avec la peau d’autruches qui ont été frappées, égorgées et plumées. Pourtant elle a refusé jusqu’à présent de prendre parti contre la souffrance des animaux. Dans cette vidéo, nous lui rappelons la méthode très simple utilisée par Hermès pour produire des sacs Birkin.
Nous espérons ainsi convaincre Jane Birkin de faire le choix d’aider à empêcher que les animaux soient malmenés et tués pour leur peau en appelant Hermès à renoncer aux peaux exotiques pour ses sacs, mais aussi de refuser qu’Hermès salisse son nom.
Honnêtement, qui voudrait que son nom soit associé à ça ?
Jane Birkin a donné son nom à un bien vilain sac
Il n’y a qu’une seule chose qui surpasse le prix exorbitant des sacs Hermès Birkin en peaux d’autruche : leur cruauté. PETA États-Unis a enquêté en Afrique du Sud, dans des établissements qui fournissent 85 % des produits issus de l’autruche sur le marché mondial, y compris le cuir d’autruche utilisé par Hermès. Ce qu’ils ont rapporté n’a rien de luxueux. Jugez-en par vous-même :
Dans la nature, les jeunes autruches grandissent aux côtés de leurs parents, parfois jusqu’à l’âge de 3 ans. Mais dans ces élevages, les œufs sont volés aux parents et les bébés grandissent orphelins.
Durant leur courte vie, les autruches sont enfermées dans des enclos au sol terreux. À plusieurs reprises, elles sont placées de force dans des dispositifs de contention et plumées à vif.
Vers l’âge d’un an, elles sont chargées dans des camions et partent à l’abattoir. Dans la nature, elles pourraient vivre 40 ans.
On les traîne sans ménagement dans le box d’étourdissement puis on leur tranche la gorge. Les autruches attendant leur tour assistent à ce carnage.
Demandez à Hermès de renoncer aux peaux exotiques
Joignez-vous à nous pour faire pression sur Hermès afin que la marque retire le cuir d’autruche ainsi que les peaux exotiques de ses collections, et optez toujours pour une mode sans cruauté.
