PETA S’Attaque Aux Reunions De L’Universite De Columbia Lors D’Un « Week-End D’Action » A Paris

A venir, une série d’actions de protestation contre les mutilations de primates dans les laboratoires universitaires

Pour publication immédiate :
24 Juin 2004

Contact:
Dawn Carr (PETA Angleterre) + 44 207 357 9229, ext 224

Paris – Dernière salve de la campagne internationale de PETA contre trois expériences barbares sur des primates conduites par l’université de Columbia (New York) : ce week-end à Paris, à l’occasion du 250e anniversaire de cette université, des membres de PETA mèneront un « week-end d’action ». Trois actions différentes seront prévues :  une banderole portant l’inscription « L’université de Columbia torture les animaux » sera déployée du haut de l’un des ponts de la Seine ; un groupe d’activistes portant des masques de singe rejoindra le président de l’université », Lee Bollinger, pour son jogging du matin ; enfin, « la grande faucheuse » s’invitera à la réception donnée en l’honneur des officiels et anciens étudiants de Columbia :

• Déploiement « banderole » :
Date :  Vendredi 15 juin
Heure :  21h
Lieu:  Pont d’Iéna

• ‘Course amusante’ avec Bollinger:
Date :   Samedi 26 juin
Heure :  de 10 à 11h
Lieu:  Université de Columbia, Reid Hall, 4 rue de Chevreuse

• La grande faucheuse s’incruste dans la fête :
Date :  Samedi 26 juin
Heure :  18h30
Lieu :  Musée d’Orsay, 1 rue de la Légion d’honneur

PETA Etats-Unis, avec le gouvernement américain ainsi que des cabinets d’avocats de New-York, ont porté plainte contre l’université de Columbia après avoir étudié les comptes-rendus d’un vétérinaire sur les traitements cruels subis par les primates dans les laboratoires de cette université.

Celle-ci a déjà suspendu une expérience, pour laquelle on enlevait les yeux gauches de babouins afin de pouvoir accéder, à travers leurs orbites vides, aux vaisseaux sanguins, le tout dans le but de provoquer des attaques.

PETA exige maintenant l’arrêt définitif de cette expérience comme des deux autres ;
l’une de celles-ci, pour étudier les effets du stress sur le cycle menstruel, implique l’implantation de tubes de métal dans des crânes de singes rhésus;
l’autre, le tailladage de fœtus à l’intérieur même d’utérus de femelles babouins rendues dépendantes à la nicotine.

« Les laboratoires de Columbia ne sont rien d’autre que des salles de torture pour ces primates hautement socialisés », dit l’ancienne vice-présidente de PETA, Mary Beth Sweetland. « Notre campagne ne prendra fin que le jour où ces trois expériences barbares seront arrêtées ».

PETA Etats-Unis a déjà protesté contre Columbia lors de réunions d’anciens étudiants à travers l’Amérique du nord. Des actions de protestations ont eu lieu à Tokyo, Séoul, Beijing, Mumbai et Londres.

Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site www.ColumbiaCruelty.com

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