Unilever prend position contre l’expérimentation animale

Posté le par Caroline C

PETA adresse toutes ses félicitations à Unilever. L’entreprise est en effet l’une des premières marques à adhérer à un nouveau programme révolutionnaire visant à aider les consommateurs et consommatrices à déterminer quelles sont les entreprises du secteur de l’alimentation et des boissons qui n’effectuent pas de tests sur les animaux.

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« Manger sans expérimentation »

Le site internet Eat Without Experiments (« Une alimentation sans expérimentations ») de PETA États-Unis propose une base de données des entreprises classées en fonction de leur politique en matière d’expérimentation animale – de celles qui pratiquent des tests sur les animaux à celles qui ont signé le pacte de PETA États-Unis garantissant qu’elles ont cessé de pratiquer des tests sur les animaux et qu’elles ne le feront plus jamais. Cette dernière catégorie inclut désormais Unilever.

Unilever est l’une des nombreuses entreprises qui ont déjà signé le pacte de PETA États-Unis, s’engageant à ne jamais effectuer de tests sur les animaux.

Demandez à Côte d’Or de faire de même

Les internautes peuvent également envoyer des e-mails et agir via le site afin d’inciter Mondelēz International (le propriétaire de Belin, Côte d’or, LU et de plusieurs autres marques bien connues) à cesser de torturer et de tuer des animaux lors de tests visant à faire des déclarations fallacieuses sur les effets de leurs produits sur la santé humaine.

Mondelēz International a contraint des souris à ingérer des excréments humains et des rats à manger de la malbouffe, avant de tuer et disséquer les animaux. Tout cela en dépit du fait que les agences de régulation des États-Unis, de l’Union européenne et du Canada exigent que des études sur l’humain, et non sur d’autres animaux, soient utilisées pour vérifier les déclarations faites concernant la sûreté des denrées alimentaires. La règlementation de l’organisme de surveillance des aliments et des médicaments américain précisent que « les études [sur les animaux] ne fournissent pas d’informations permettant de tirer des conclusions scientifiques concernant une relation entre la substance et une maladie chez l’homme » car « [l]a physiologie des animaux est différente de celle des humains ».

Envoyez un message au fabricant de Côte d’Or dès maintenant :