Action historique d’un prince saoudien pour mettre fin à la maltraitance des animaux à Petra, après les révélations de PETA
Dans une entente conclue entre le ministre jordanien du tourisme et du patrimoine historique, Son Excellence Lina Annab ; le commissaire en chef de l’Agence de développement de Petra et du tourisme local, Son Excellence Falah Omoush ; et le prince saoudien Khaled bin Alwaleed de KBW Investments, de grandes améliorations vont voir le jour à Petra. Elles devraient aider à préserver les marches du site, prévenir les plaintes des visiteurs internationaux et mettre fin aux coups et autres mauvais traitements dont les animaux de labeur sont victimes comme l’avaient montré les images de l’activité touristique dans cette ancienne cité, révélées par PETA.
Le protocole d’entente, signé récemment, comprend l’introduction de véhicules électriques respectueux de l’environnement pour le transport des touristes et l’installation de cliniques vétérinaires modernes, où les animaux pourraient recevoir des soins vétérinaires réguliers. D’autres mesures prévoient de fournir de nouveaux points d’eau pour s’assurer que les animaux aient accès à une eau potable et fraîche et d’interdire le fait de forcer des animaux à emprunter des chemins dangereux ou de porter des charges lourdes.
Les révélations de PETA
Voici ce que nous avions révélé en janvier 2018 :
Puis en avril :
Aidez les animaux captifs
En France, les animaux prisonniers dans les cirques subissent des conditions de vie si terribles qu’une grande majorité des Françaises et des Français – 67 % selon un sondage IFOP/30 Millions d’Amis de février 2018 – voudraient voir ces lieux de souffrance interdits.
À la captivité à vie dans des environnements stressants et inadaptés s’ajoutent les transports fréquents, la violence du dressage et les spectacles pénibles qu’ils sont contraints de réaliser. Mettons fin à cette pratique barbare en signant la pétition pour une interdiction nationale :
En quelques instants, écrivez également à votre maire pour lui demander de prendre position pour des cirques sans animaux sauvages dans sa commune, comme plus de 100 villes françaises dont Paris, Strasbourg, Montpellier, Rennes et Ajaccio :