Bengui défend les animaux prisonniers de Marineland
« N’allez pas à Marineland, mes ptits keums » : tel est le message de Bengui (Greg Guillotin – Nou), le célèbre et attachant personnage toujours accompagné de son copain Léo, un dauphin en peluche géant, créé par le comédien du studio Bagel Gregory Guillotin, qui dénonce la souffrance des animaux détenus en captivité.
Les mammifères marins sont des êtres sensibles, sociaux et intelligents avec des besoins complexes et spécifiques. Or la captivité les prive de tout ce qui leur est naturel et important et entraîne des souffrances physiques et psychologiques.
« Personne ne veut vivre dans un bocal. Ni Bengui, ni Léo, ni personne », déclare le comédien. « Les animaux ne sont pas des objets que l’on place là pour divertir. Comme tous les êtres vivants sensibles, ils ont le droit de vivre libre auprès des leurs, dans leur habitat naturel. » À Marineland comme dans les parcs marins du monde entier, des dauphins, des orques, des otaries et d’autres animaux meurent régulièrement à cause du stress ou d’autres causes imputables à la captivité.
Ces mammifères sont des animaux intelligents, dotés de capacités sociales développées. Ils sont pourtant enfermés dans des piscines extrêmement exiguës et privés de tout ce qui est important et naturel pour eux. Dans la nature, les dauphins peuvent parcourir une centaine de kilomètres chaque jour, dans l’immensité des océans, mais les dauphins qui survivent en captivité sont confinés dans des bassins étroits sur les murs desquels les réverbérations de leur sonar se répercutent et résonnent, les poussant à la folie.
La place de ces animaux majestueux est dans la nature, et Bengui et son copain Léo invitent toutes les personnes qui se soucient des animaux à refuser de fréquenter les prisons aquatiques comme Marineland.
Ce que vous pouvez faire
Signez la pétition pour que soit interdite la reproduction des cétacés captifs en France :