Une entreprise nazairienne récompensée d’un « Prix des saveurs véganes 2019 » pour son ‘camembert’ végétal
Le 22 octobre 2019
UNE ENTREPRISE NAZAIRIENNE RÉCOMPENSÉE D’UN « PRIX DES SAVEURS VÉGANES 2019 » POUR SON ‘CAMEMBERT’ VÉGÉTAL
Nature & Moi – qui fabrique des fauxmages dans un ancien abattoir – reçoit un prix de la part de PETA pour son produit innovant qui répond à la demande croissante pour des mets végans
Saint-Nazaire – Par le biais de l’édition 2019 de son « Prix des saveurs véganes », PETA dévoile aujourd’hui son palmarès des produits végans les plus novateurs et goûteux disponibles en France.
Nature & Moi, jeune entreprise familiale basée à Saint-Nazaire et installée dans l’ancien abattoir de la commune, remporte aujourd’hui le prix du Meilleur fromage végan, pour son Cœur Fleuri, une formidable alternative au brie et au camembert qui vient d’arriver dans les rayons des supermarchés. Cette nouveauté crémeuse fait partie de toute une gamme de délicieux fauxmages, allant de la saveur ‘chèvre’ à ‘mozzarella’, en passant par des tranches de ‘cheddar’ et des râpés fondants.
La demande pour des produits végans est en plein essor, et le mouvement continue de prendre de l’ampleur, puisqu’il est estimé que la valeur du marché alimentaire végétalien dans le monde devrait atteindre environ 24,3 milliards de dollars américains d’ici 2026. Le marché du végan prospère notamment dans les grandes et moyennes surfaces françaises (avec un chiffre d’affaires qui s’élevait à 380 millions d’euros en 2018) notamment grâce à des marques innovantes telles que Nature & Moi.
« Un intérêt grandissant pour l’éthique, l’écologie et la santé pousse de plus en plus de gens à choisir des options véganes » déclare Mathilde Dorbessan, chargée de communication auprès des entreprises. « La délicieuse gamme de fromages sans cruauté de Nature & Moi permet de combler les fans de fromage sans participer à l’exploitation des êtres sensibles qui souffrent dans l’industrie laitière. »
PETA – dont la devise dit notamment que « les animaux ne nous appartiennent pas et [que] nous n’avons pas à les utiliser comme nourriture » – rappelle que se passer de produits laitiers permet d’épargner d’atroces souffrances aux vaches, chèvres et autres animaux exploités pour le lait. Les femelles sont inséminées de force et à répétition et se font retirer chacun de leurs petits, une séparation déchirante. Les mâles, inutiles à l’industrie, sont envoyés à l’abattoir et leurs sœurs subissent le même calvaire quotidien que leurs mères.
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