Avec ces poissons d’avril rappelez que la cruauté de la pêche n’est pas une blague
L’une des plaisanteries du 1er avril consiste à accrocher un poisson en papier dans le dos d’une personne sans qu’elle ne s’en rende compte. Cette année, liez l’utile à la blague en utilisant ces poissons de PETA pour rappeler que les poissons sont des êtres sensibles qui ressentent la peur et la douleur et dénoncer la cruauté de la pêche.
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La souffrance des poissons n’est pas une blague
Les poissons et les crustacés sont massacrés par milliards pour notre consommation, or, comme l’a écrit la biologiste Victoria Braithwaite, « Il y a autant de preuves que les poissons ressentent la douleur et souffrent, qu’il y en a pour les oiseaux et les mammifères ».
Parce qu’ils nous semblent différents de nous, le supplice que subissent les poissons pêchés n’est pas pris en considération. Pourtant, les animaux marins ont des systèmes nerveux similaires aux nôtres, et sont capable de ressentir des émotions, comme la peur et la terreur d’être violemment capturés et tués. Ces animaux sont des individus avec leurs personnalités et leurs langages, qui ont une bonne mémoire et qui savent même pour certains se servir d’outils. Ils sont aussi des individus sociaux, capables d’apprendre auprès de leurs pairs et de développer des relations fortes.
Malgré cela, ils sont tués sans aucune considération : transpercés par des hameçons sur d’immenses lignes de pêche, écrasés les uns contre les autres dans les filets, trainés hors des profondeurs marines, asphyxiés, découpés sur les ponts des bateaux de pêche alors qu’ils sont encore conscients. C’est le même sort que vivent les milliers de tortues, requins, dauphins et autres animaux capturés comme « prise accidentelle » et rejetés à la mer morts ou mourant.
Sauvez les océans et leurs habitants : devenez végan
La pêche est le secteur qui tue le plus d’animaux dans le monde, et on estime que les humains tuent plus de mille milliards de poissons chaque année. Selon un rapport de 2020 de l’organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, 60 % des populations de poissons sont exploité au niveau « maximal » et 34 % sont « surexploité ». Si rien n’est fait pour enrayer cette déprédation, les océans seront vides d’ici 2050.
La seule façon d’être sûr que vous ne participez pas à la destruction de l’environnement marin et qu’aucun animal n’a souffert pour votre repas est de passer à une alimentation végane. Commandez notre « Guide du végan en herbe » gratuit :