Dans cette vidéo de PETA, Christine Berrou raconte l’histoire des œufs en 1 minute
« Tout commence avec un petit poussin qui lutte pour sortir de sa coquille. » Mais c’est immédiatement que les choses se gâtent. Cette vidéo de PETA à laquelle l’humoriste Christine Berrou prête sa voix explique les souffrances qui se cachent derrière un simple œuf.
Christine Berrou est une humoriste engagée pour les droits des animaux. Elle résume ainsi les raisons de son engagement :
Mon véganisme est né du bon sens. On ne peut pas d’un côté souhaiter un monde juste pour les humains et de l’autre cautionner ce massacre quotidien qu’est l’exploitation animale.
La « vie » d’une poule exploitée pour ses œufs
Éclos en incubateurs et orphelins, les oiseaux sont mis en cage ou en hangar pour produire des œufs si ce sont des femelles, ou broyés ou gazés si ce sont des mâles. Voici par exemple comment les poussins étaient broyés, étouffés ou écrasés dans un couvoir breton en 2014 :
En France 70 % des poules sont enfermées dans des cages où elles n’ont qu’à peine plus que la surface d’une feuille A4 pour vivre, ou bien dans les hangars surpeuplés des élevages « bio » et « plein air ». Ces images proviennent de deux élevages bio et plein air en Allemagne :
À l’âge d’un an et demi, lorsque leur productivité n’est plus jugée suffisante par l’éleveur, les oiseaux sont « ramassés », entassés dans des camions et partent pour l’abattoir. Là, les poules sont pendues à l’envers par les pattes, électrocutées puis saignées, bien souvent alors qu’elles sont encore conscientes. Les labels n’y changent rien ; en bio, plein air ou label rouge, la violence et la souffrance sont les mêmes dans tous les abattoirs.
Ce que vous pouvez faire
Quelle que soit la façon dont on tourne le problème, la production d’œuf implique toujours de faire souffrir et de tuer des animaux. Mais vous pouvez tout simplement ne plus en consommer. Prenez un instant pour commander notre « Guide du végan en herbe » et faire la transition vers une alimentation plus respectueuse des animaux.