Des lapins découpés vivants pour des pattes « porte-bonheur »
Vous êtes-vous déjà demandé d’où viennent ces porte-clés en forme de patte de lapin « porte-bonheur » ? Des images de PETA Asie révèlent que dans des élevages de fourrures en Chine, des travailleurs coupent les pattes de lapins alors que les animaux sont encore vivants et les frappent à la tête avant de leur trancher la gorge et de leur arracher la fourrure.
La Chine est actuellement le plus grand producteur et consommateur d’articles en fourrure, et elle n’a pas de lois sur la protection des animaux. Les enquêtes menées par des témoins oculaires pour les affiliées de PETA ont montré à maintes reprises que les éleveurs d’animaux à fourrure confinent leurs animaux dans des cages grillagées sales – souvent sans avoir accès à une nourriture adéquate et à de l’eau propre – et qu’ils utilisent les méthodes de mise à mort les moins coûteuses disponibles, notamment la suffocation, les électrocutions anales et vaginales, le gazage, les empoisonnements et même le dépècement des animaux vivants. Si des animaux meurent dans les cages, leurs compagnons affamés peuvent manger leurs corps pour rester en vie.
Les animaux dans les élevages à fourrure sont privés de tout ce qui est naturel et important pour eux – comme la possibilité de creuser, de nager ou d’escalader – parce qu’ils sont obligés de passer toute leur vie dans des cages étroites et vides. Certains se mutilent, se mordillant les membres ou la queue à cause du tourment psychologique et physique constant qu’ils endurent dans un confinement si intensif.
Que la fourrure vienne de Chine ou d’ailleurs dans le monde, elle implique une cruauté extrême envers les animaux. Il n’y a tout simplement aucune excuse pour soutenir cette industrie vicieuse.