Grâce à son action elle parvient à faire interdire les cruels cirques animaliers dans sa commune
Hussigny-Godbrange est une commune du Grand Est, à la frontière avec la Luxembourg. Les arts du cirque – sans animaux prisonniers – font partie de son paysage puisque des ateliers de découverte et d’initiation s’y tiennent chaque semaine.
Mais la détresse des animaux n’a rien à y faire et c’est désormais officiel. Hussigny-Godbrange vient d’ajouter son nom à une liste de près de 50 communes qui ont interdit l’installation des cirques détenant des animaux sauvages.
La place des animaux n’est pas dans les cirques, comme le rappelle la Fédération des vétérinaires d’Europe pour qui « les besoins des mammifères sauvages ne peuvent être satisfaits dans un cirque itinérant, en particulier quant aux conditions de vie et à la possibilité d’exprimer des comportements normaux ».
Cette décision progressiste a été initiée par l’action d’une habitante membre de PETA. Elle raconte :
J’ai effectué comme suggéré une demande d’interdiction de leur venue dans ma commune en mairie, détaillée et clairement justifiée. La directrice générale des services […] m’a répondu que ma demande avait été entendue et que cette dernière serait traitée le 16 mars en conseil municipal. Aujourd’hui, j’ai donc reçu la réponse officielle : l’interdiction des cirques avec animaux sauvages a été votée à la majorité dans ma commune d’Hussigny-Godbrange.
PETA félicite la commune d’Hussigny-Godbrange et son adhérente déterminée qui, grâce à son action, a fait bouger les lignes en faveur des animaux.
Suivez son exemple : agissez auprès de votre commune
Prenez quelques minutes de votre temps pour initier vous aussi de grands changements pour les animaux prisonniers des cirques.