NOUVELLE VIDÉO : l’importation de singes pour l’expérimentation est violente et dangereuse
Saviez-vous que près de 80 % des singes utilisés dans les expériences en France proviennent d’Afrique ou d’Asie ? Les singes sont kidnappés de leur forêt natale à l’autre bout du monde et utilisés pour soutenir la chaîne d’approvisionnement des laboratoires d’élevage.
En 2020, des singes ont été utilisés dans 3 996 procédures expérimentales en France, et des centaines de singes qui ont été utilisés dans ces procédures étaient les petits de parents capturés dans la nature.
Regardez cette vidéo pour voir PETA lever le rideau sur ce milieu clandestin et cruel dans lequel les singes sont échangés contre de l’argent et où les dangers pour les animaux et les humains sont ignorés :
La violence est partout
Tout commence lorsque des trappeurs du Cambodge, de Chine, d’Indonésie, de l’île Maurice ou du Viêt Nam piègent des mères singes, leur arrachent leurs petits et les mettent dans des sacs, puis entassent les mères – et tout autre membre du groupe qui survit à l’assaut – dans des caisses.
Certains seront vendus directement à des laboratoires, tandis que d’autres seront d’abord envoyés dans des élevages industriels de singes, où les mères seront forcées de vivre et de se reproduire dans des conditions sales et inhospitalières.
Les blessures et les maladies sont effroyablement fréquentes dans ces élevages, et de nombreux singes meurent. Tous les bébés sont arrachés de leurs mères peu après la naissance.
Ceux qui survivent dans ces élevages industriels de singes – dont les similitudes avec les « marchés humides » ne peuvent être ignorées – sont entassés dans des caisses exiguës en bois et embarqués par centaines dans des avions pour un vol sombre et terrifiant vers une mort certaine.
Le voyage prend parfois plusieurs jours, et les singes sont laissés à l’abandon dans leurs propres excréments.
Dans les laboratoires, les primates peuvent être mutilés, empoisonnés, privés de nourriture et d’eau, immobilisés de force dans des dispositifs de contention, infectés par des maladies douloureuses et mortelles, et tourmentés psychologiquement.
Les expérimentateurs tuent la plupart des singes lorsqu’ils en ont fini avec eux ou lorsque leur corps est trop épuisé pour continuer. Très peu s’en sortent vivants, et aucun ne rentre chez lui.
Des espèces menacées par l’expérimentation animale
Cette exploitation effroyable des singes est l’une des principales raisons pour lesquelles certaines espèces sont aujourd’hui menacées d’extinction.
Le statut de conservation des macaques à longue queue (Macaca fascicularis) est récemment passé de « vulnérable » à « en danger » par l’Union internationale pour la conservation de la nature.
Dans les laboratoires français, les macaques à longue queue sont les singes les plus utilisés. Voici quelques chiffres choquants concernant l’utilisation des singes en France en 2020 :
- Les singes ont été utilisés dans 3 996 procédures.
- Le macaque à longue queue, aujourd’hui en voie de disparition, a été utilisé dans 89 % des procédures utilisant des singes.
- Pas moins de 641 primates utilisés dans les procédures étaient les jeunes (génération F1) de parents capturés dans la nature.
- Parmi ces singes F1 utilisés dans les expériences, 99 % étaient des macaques à longue queue.
Un danger manifeste et actuel pour le public
L’importation de primates n’est pas seulement dangereuse pour les singes. En raison de notre similitude génétique, le risque de transmission de bactéries et de virus du singe à l’humain est plus élevé qu’avec tout autre groupe d’animaux.
Les primates sont connus pour être porteurs et transmetteurs d’un grand nombre d’agents pathogènes et de maladies, notamment le virus de l’herpès B, la tuberculose, les microbes résistants aux antimicrobiens, les virus de type Ebola, le virus de la fièvre hémorragique simienne, la shigellose, les salmonelles, le campylobacter, la malaria, la Dengue et la lèpre.
On sait que de tels virus persistent dans les colonies de primates au sein des laboratoires de l’UE.
Bien que les importateurs commerciaux de singes soient obligés de dépister les agents pathogènes mortels susceptibles de se propager à l’être humain, ils passent souvent inaperçus, ne peuvent pas tous être détectés et certains n’apparaissent que des mois ou des années plus tard.
De nouveaux virus non identifiés, susceptibles de provoquer des pandémies, constituent également un risque.
Des piles de singes morts et des promesses non tenues
Malgré des décennies de promesses et des centaines de milliers de singes morts, les expériences menées sur ces animaux n’ont pas abouti à des vaccins efficaces contre la tuberculose, le paludisme ou d’autres maladies humaines terrifiantes.
Les expériences COVID-19 ont montré à la communauté scientifique à quel point les études sur les singes sont peu pertinentes et souvent trompeuses. Il est temps de mettre fin à cette exploitation barbare et mortelle.
Nous avons le pouvoir d’arrêter cela – signez maintenant !
Plus d’un million de citoyens européens ont déjà signé l’initiative citoyenne européenne (ICE) demandant la fin de l’expérimentation animale.
Veuillez nous rejoindre aujourd’hui et faire partie de ce mouvement de compassion. Ensemble, nous pouvons mettre fin à cette mortelle chaîne d’approvisionnement des laboratoires.
Si vous êtes un citoyen de l’UE et que vous n’avez pas encore signé l’ICE, veuillez ajouter votre nom dès maintenant pour aider à mettre fin à la souffrance :