Victoire : H&M s’interdit l’utilisation de nouvelles plumes de duvet suite à la campagne de PETA

Posté le par Caroline C

H&M, le deuxième plus grand détaillant de vêtements au monde, s’est engagé à ne plus s’approvisionner en duvet neuf pour aucune de ses marques à l’international, une mesure qui permettra d’épargner à d’innombrables canards et oies une vie de misère et une mort atroce.

Dans le cadre de son initiative visant à éradiquer complètement l’utilisation du duvet, H&M transitionne vers une utilisation exclusive de duvet synthétique ou recyclé post-consommation pour ses vestes et ses articles ménagers.

Cette annonce intervient après des dizaines de manifestations des entités PETA dans les magasins H&M du monde entier, un appel de Joaquin Phoenix, des résolutions d’actionnaires et des lettres de la part de plus de 150 000 sympathisants des entités PETA.

La vérité sur l’industrie du duvet

La décision pleine de compassion de H&M est une grande victoire pour les canards et les oies.

Dans l’industrie du duvet, les canards et les oies, des animaux sensibles, sociables et attachés à leur famille, sont contraints de passer toute leur vie dans des hangars insalubres ou sur des terrains jonchés d’excréments. Dans les abattoirs, de nombreux oiseaux sont insuffisamment étourdis avant d’être égorgés, de sorte qu’ils sont souvent encore conscients lorsqu’ils sont jetés dans des bassins d’éplumage remplis d’eau bouillante.

Des matières non animales innovantes

Avant la campagne, PETA États-Unis a collaboré avec H&M pour créer Co-exist Story, une collection végane mettant en vedette FLWRDWN, une alternative au duvet fabriquée à partir de fleurs sauvages, et d’autres matériaux d’origine durable, notamment Vegea, un cuir fabriqué à partir de peau de raisin, et ECONYL, un nylon régénéré créé à partir de déchets tels que des filets de pêche et des chutes de tissu.

Comment aider les canards et les oies

Rejoignez PETA pour exhorter d’autres détaillants, y compris Marks & Spencer et Lacoste, à suivre le mouvement et à cesser de tirer profit de l’industrie cruelle des plumes :