Victoire : le géant pharmaceutique français Sanofi abandonne les tests de quasi-noyade sur les animaux
Nous avons réussi ! Après une campagne mondiale menée par les entités PETA, le géant pharmaceutique Sanofi ne tourmentera plus de petits animaux dans le cadre d’une expérience de quasi-noyade connue sous le nom de « test de nage forcée ».
Cette décision fait suite à une campagne de sensibilisation menée par des scientifiques de PETA et à plus de 440 000 courriels envoyés par des sympathisants du monde entier.
Sanofi
Sanofi a annoncé cette décision louable par le biais d’une nouvelle politique publique confirmant que l’entreprise « n’utilise pas le test de nage de Porsolt ». Elle a déclaré : « Nous n’avons aucun projet de recherche impliquant l’utilisation de ce test et nous ne prévoyons pas d’utiliser ce test à l’avenir, que ce soit en interne ou chez un partenaire de recherche contractuel. »
Entre 1993 et 2019, Sanofi a fait subir ce test à plus de 1 500 souris et rats, sans parvenir à produire un seul antidépresseur utilisable.
Le test cruel de nage forcée
Dans ce test largement discrédité, les expérimentateurs confinent des rats, des souris ou d’autres petits animaux dans des récipients d’eau dont ils ne peuvent pas sortir et les regardent nager désespérément à la recherche d’une échappatoire, dans la croyance erronée que cela peut révéler quelque chose sur les conditions de santé mentale chez l’humain. Une fois le test terminé, les expérimentateurs tuent les animaux.
Sanofi rejoint de nombreuses autres entreprises qui ont interdit le test après avoir été contacté par les entités PETA, notamment Johnson & Johnson, Bayer, GlaxoSmithKline, AbbVie, Roche, AstraZeneca, Novo Nordisk A/S, Boehringer Ingelheim, Pfizer et Bristol Myers Squibb.
Passez à l’action pour mettre fin à TOUTES les expérimentations sur les animaux
Le taux d’échec des nouveaux médicaments mis au point à partir d’animaux dans des domaines de recherche sur des maladies spécifiques dépasse 95 %.
Les scientifiques de PETA ont étudié l’échec du paradigme de l’expérimentation animale pour aider les humains souffrant de maladies, et ils ont un plan : le Research Modernisation Deal.
Ce plan définit une stratégie pour remplacer l’utilisation des animaux dans la recherche biomédicale et les essais réglementaires. En investissant davantage dans des méthodes sans animaux, les scientifiques de la France pourraient mettre au point de meilleurs traitements pour les maladies humaines ainsi que des méthodes plus fiables pour l’évaluation de la toxicité. Cela permettrait d’éviter la souffrance de millions de souris, de rats, de chiens, de primates, de lapins, de poissons et d’autres animaux.