En vidéo : David Hallyday tacle les cirques animaliers et demande une interdiction nationale

Le 8 juillet 2020

En vidéo : David Hallyday tacle les cirques animaliers et demande une interdiction nationale

Le chanteur s’associe une nouvelle fois à PETA pour dénoncer l’exploitation des animaux dans les cirques – à laquelle s’opposent presque 3 français sur 4 – dans une vidéo inédite

Paris – Après qu’un sondage ait révélé que ce sont aujourd’hui 72% des français qui souhaitent que les cirques avec animaux sauvages soient interdits, David Hallyday, qui posait chaînes aux poings pour PETA en début d’année, participe à une toute nouvelle vidéo de l’association, dont le tournage a fait l’objet d’un reportage sur TF1. Dans celle-ci, il révèle le traitement réservé aux êtres sensibles et intelligents, qui sont frappés, fouettés, confinés et maltraités de diverses manières dans les cirques.

« Comme les éléphants, les tigres, les lions, les chevaux, les chiens, tous les animaux utilisés dans les cirques passent leur vie au bout d’une chaîne ou dans une cage… Les dompteurs utilisent des fouets, des chaînes et d’autres outils pour forcer les animaux à exécuter les numéros », déclare David Hallyday dans la vidéo, avant d’expliquer que des éléphanteaux sont arrachés à leur famille avant même d’être sevrés et battus avec des barres d’acier munies d’un crochet, et des oursons sont attachés par le cou à de courtes chaînes pour les forcer à se tenir debout.

« Ces méthodes sont les mêmes partout dans le monde. Dans les cirques, les animaux n’ont pas le choix, ils doivent obéir. Beaucoup tombent malades et souvent n’ont pas de soins vétérinaires. Certains montrent des signes de dépression et développent un comportement névrotique pour compenser le stress, » ajoute-t-il.

David Hallyday rappelle qu’en plus de la souffrance physique et psychologique que subissent ces animaux, le fait de les tenir captifs dans de telles conditions peut devenir un danger pour le public, comme l’ont prouvé de nombreux incidents où des animaux ont attaqué leurs dompteurs ou posé un danger aux spectateurs.

Il conclut en faisant mention des villes qui s’opposent à la présence de cirques animaliers sur leurs territoires : « Paris, Rennes, Strasbourg, Montpellier, Dijon… et la liste s’allonge, comme celle de la vingtaine de pays de l’Union européenne qui ont déjà totalement interdit l’exploitation de ces animaux. Rejoignez-moi en demandant la fin de l’emprisonnement des animaux sauvages dans les cirques. »

En début d’année, le chanteur posait pour l’association dans une affiche déclarant « Pour les animaux, le cirque est une prison. Brisons leurs chaînes ».

PETA, dont la devise dit notamment : « les animaux ne nous appartiennent pas et nous n’avons pas à les utiliser pour notre divertissement », appelle le gouvernement français à suivre l’exemple de nombreux pays en interdisant l’exploitation d’animaux dans les cirques.

Pour plus d’informations, rendez-vous sur PETAFrance.com.

 

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